ON EN PARLE... |
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Transcription de l’interview
radiophonique du Dr. Steven Greer par George Noory sur la station radio américaine "Coast to Coast" AM 28/29 octobre 2004. |
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George Noory (GN) : Il est médecin et s’appelle Steven Greer, et il a lancé voilà pas mal de temps le "Disclosure Project" ("Projet Révélations"), un projet de recherche qui vise à divulguer tous les faits concernant les OVNIs, l’intelligence extraterrestre et également des systèmes de propulsion et de production énergie classifiés et novateurs. Il a consacré son temps et sa vie à ce projet. Dans un instant, le Dr. Steven Greer… GN : Le Dr. Steven Greer est le fondateur et directeur de "Space Energy Access System" ("Systèmes d’Accès à l’Energie du Vide") et également le fondateur et directeur du "Disclosure Project". Il est médecin urgentiste et ancien président du Département de Médecine des Urgences du "Caldwell Memorial Hospital". Il est membre à vie d’"Alpha Omega Alpha", la plus prestigieuse Société Honorifique de Médecine de notre pays. Il est apparu dans plusieurs émissions nationales, parmi lesquelles Coast to Coast, bien sûr, et aussi le "Larry King Show", sur CBS, la BBC et NTV au Japon. Le Dr. Greer supervise des recherches à l’échelle mondiale sur des sources d’énergie alternatives, particulièrement celle qu’on appelle l’énergie du point zéro, ou sur des dispositifs surunitaires, avec pour objectif de découvrir et de développer des systèmes qui mettront fin aux besoins en carburants fossiles, alors souhaitons qu’il y arrive. Nous allons parler de plusieurs choses ce soir avec le Dr. Greer – de son Disclosure Project, bien sûr, et évidemment de SeasPower.com, la société qu’il dirige. Alors bienvenue sur Coast to Coast. Steven, comment allez-vous, mon ami ? Content de parler à nouveau avec vous. Steven Greer (SG) : Heureux de vous entendre. Merci à vous, et content d’être là. GN : Je voudrais vous demander la chose suivante, Steven, si vous nous le permettez : revenons tout simplement en arrière, juste un petit instant. SG : Pas de problème. GN : Quand vous avez développé le Disclosure Project et que vous avez commencé à réunir les personnes et le puzzle pour au minimum essayer de pousser le gouvernement à nous révéler quelques informations supplémentaires, qu’est-ce qui s’est passé dans votre vie pour que vous fassiez ça ? Je veux dire, voilà, vous êtes docteur, docteur en médecine. Et tout à coup vous vous êtes impliqué dans ce projet. Que s’est-il passé ? Comment est-ce arrivé ? SG : Eh bien, ça a évolué sur de nombreuses années depuis mon enfance. En fait, quand j’avais huit ou neuf ans, j’ai vu un de ces OVNIs pas loin de là où j’étais – là où j’ai grandi, à Charlotte, en Caroline du Nord, et cela coïncidait avec la période où mon oncle, le frère le plus âgé de ma mère, était un des principaux ingénieurs du projet concernant le module lunaire. Il a participé à la conception du module lunaire qui a emmené Neil Armstrong sur la Lune. Alors quand j’étais jeune homme, je me suis bien sûr beaucoup mis à m’intéresser pas seulement à l’espace, mais à ces trucs peu communs que les gens appellent des OVNIs, et c’est devenu la passion de ma vie. En 1990, un certain nombre de choses sont arrivées à l’occasion desquelles j’ai à nouveau pu observer ces objets, et j’ai de nouveau commencé à me pencher là-dessus, et j’en ai conclu qu’ils étaient non seulement réels, ce que j’ai bien sûr toujours su, mais qu’il était pour nous temps de faire deux choses. D’une, nous avons démarré le "Center for the Study of Extraterrestrial Intelligence" (ou SCETI) (Centre d’Etude de l’Intelligence Extraterrestre), et un projet qui est le Disclosure Project, et nous avions deux objectifs. Le premier était d’aller commencer à voir partout dans le monde où ces objets étaient signalés, de tenter d’établir le contact avec eux ou de leur faire des signaux, et c’est ce que nous avons fait, et ça a très rapidement attiré l’attention de gens comme le chef du Renseignement Militaire et des amis du Président des Etats-Unis, et le directeur de la CIA et d’autres gens, parce que même si beaucoup de gens pensaient que tout ça était peu plausible, ce qui s’est passé, c’est que nous sommes au fond arrivés à découvrir un morceau de la Pierre de Rosette, si vous voulez, concernant la façon d’entrer en contact et de communiquer avec ces objets. Ainsi, de 1990 à 1993, quand nous avons lancé ce projet de contact et de recherche en temps réel à travers le monde, ça a eu pour résultat un réseau de personnes qui sont venues à nous en disant : "Vous êtes sur la bonne piste, mais en plus de ça, voilà ce qui a déjà été fait de manière ultrasecrète, en réalité des projets clandestins menés illégalement." J’ai d’abord cru que tout ça n’était pas vraiment plausible jusqu’à ce que ces quelques personnages en place de l’armée et de l’Etat en arrivent à être une douzaine, puis quarante et ensuite plus de cent en 2001, et environ 450 à 500 actuellement, et on continue à les identifier au fur et à mesure que les semaines se succèdent. De fait, je vais ce soir faire profiter vos auditeurs de nouvelles informations, issues de personnes qui viennent de cette industrie aérospatiale dont mon oncle a fait partie pendant toute sa carrière. Ainsi, petit à petit, pour ainsi dire de mes huit ans aux quarante neuf que j’ai aujourd’hui [tous deux rient], toute cette question est devenue quelque chose qui a suscité une vague d’intérêt passionné, au point que j’ai effectivement, et ce en 1993 et 94, tenu des réunions d’information pour le directeur de la CIA du Président Clinton et ses principaux collaborateurs, et pour les gens du Pentagone qui voulaient connaître un tas de ces projets qui avaient été menés et qui examinaient tout ce domaine des technologies aérospatiales et de dispositifs de propulsion et de production d’énergie novateurs, comme de l’étude d’engins extraterrestres (ou "ETVs" (pour "ExtraTerrestrial Vehicles"), en fait la façon dont ils les désignent dans ces cercles-là) sauf qu’un tas de gens, bien sûr, n’arrivaient à l’origine pas à y croire, et je n’y croyais à l’origine pas moi-même, que des types comme le directeur de la CIA se voyaient catégoriquement refuser l’accès à ce type de projets, et qu’ils étaient si cloisonnés et que c’était si tortueux et pour être plutôt franc, si mafieux et illégal dans la façon dont c’était mené, alors que des membres très importants de notre gouvernement se voyaient empêchés d’en avoir connaissance. On a ainsi eu un groupe de gens qui sont en quelque sorte devenus des conseillers et des informateurs ad hoc, si je puis dire, pour des gens du Congrès et du Sénat, et j’ai rencontré des gens de la Commission Sénatoriale des Renseignements et des gens qui – par exemple le chef de la "Defense Intelligence Agency" et le directeur des renseignements pour le chef d’état-major adjoint et un tas de cette autre sorte de postes clés. Ça a par conséquent vraiment été un processus très long, et on en est aujourd’hui au point que nous avons, au fond, tout simplement une énorme banque de données concernant des documents et des personnes en place – des dénonciateurs, si on peut les appeler comme ça. GN : Sans problème. SG : Et c’en est maintenant arrivé au point qu’il est possible d’identifier des sociétés spécifiques et des individus, et des institutions qui gèrent ces projets et qui sont, pour être plutôt franc, en train de conduire le Navire de l’Etat droit sur un iceberg et ce, de manière plutôt tragique. Par conséquent, vous savez, nous sommes en train d’essayer de détourner le Titanic de tout ça, mais il y a malheureusement des gens qui se sont arc-boutés sur la trajectoire que nous suivons actuellement, mais nous pourrons en dire plus là-dessus par la suite. GN : Avez-vous senti de la frustration chez certains de ces chefs de département, par exemple, Steven, à qui cet accès était refusé et pour lequel ils pensaient probablement qu’ils étaient habilités ? Je veux dire, est-ce qu’on les sentait frustrés ? SG : Eh bien évidemment, je veux dire que moi, spécialiste en traumatologie dans la trentaine, je suis là, assis avec un directeur de la CIA, un directeur de la CIA en exercice, qui est quasiment en larmes à la fin des trois heures de rencontre parce qu’il est en train de me dire : "Eh bien, nous, on aimerait bien que ces informations soient divulguées, et ça intéresse le Président, et ça nous intéresse aussi, mais comment pouvons-nous divulguer quelque chose à quoi nous n’avons pas accès ?". Vous voulez du "par exemple" ? A l’époque, en 1997, nous avons réuni un nombre assez important de membres du Congrès avec leurs principaux collaborateurs, et nous avons présenté environ une douzaine de ces témoins de l’armée et du renseignement que nous avions identifiés (et les gens peuvent aller sur notre site internet DisclosureProject.org pour voir une grande partie de ce témoignage et se le procurer), et ce qui s’est passé, c’est que j’ai fait une récapitulation le jour suivant cette même rencontre avec les gens du Congrès, et j’ai terminé en donnant des informations à un amiral qui était à la tête du poste J-2, responsable des chefs d’état-major pour le renseignement. Et avant la rencontre (et il s’agit-là d’un petit détail vraiment intéressant) j’avais donné à cet homme, par le biais de mes conseillers militaires et de nos contacts avec lui, des numéros et des noms de code de projets spécifiques qui étaient alors en rapport avec ce sujet (et nous les avons), et il les a évidemment notés et il a fait une enquête, pour effectivement tomber sur une de ces opérations fantômes et hypercloisonnées, et bien sûr, à ce moment-là, ils n’ont pas pu nier leur existence. GN : Précisément ! SG : Et ils se sont tournés vers l’amiral en disant : "Eh bien, Monsieur, vous n’avez pas de Droit de Savoir." Et il a dit : "Comment ça, je n’ai pas de Droit de Savoir, je suis le chef des renseignements pour l’état-major !" Maintenant, je suis assis là, ça m’est directement rapporté par quelqu’un de ce niveau-là, et je suis assis au Pentagone. Pour être plutôt franc, ça a fait basculer mon existence et c’est extraordinaire, mais ce que ça m’a appris, c’est que les suppositions que les gens font quand ils disent que "le gouvernement" est en train de nous cacher ça, eh bien c’est tout simplement vrai qu’il y a ce qu’on pourrait appeler des cellules hautement classifiées et illégalement gérées, ou projets cloisonnés, qui sont en rapport avec tout ça. Mais 99 % des gens du Pentagone, de l’"Agence" ou de la NSA n’ont aucune connaissance de ce sujet et, de fait, je vous le dis franchement, ils sont plus probablement qu’autre chose en train d’écouter cette émission pour découvrir ce qui se passe. Et cela touche malheureusement tous les niveaux du bas en haut de l’échelle, jusqu’à celui de la Présidence et de membres clés du Congrès qui sont supposés être au courant. Maintenant, là où nous en sommes de cette histoire – et cela a bien sûr évolué des années 40 jusqu’à ce jour – c’est que les véritables actions sont autant à un niveau transnational qu’à celui de sociétés. Les principaux agissements se font dans des opérations se déroulant chez Lockheed et chez Northrop, des fournisseurs en rapport avec ces gros projets clandestins, la "Science Applications International Corporation" (SAIC) et des gens que je connais, qui sont dans leurs conseils d’Administration et qui sont impliqués dans ces projets. Il y a par conséquent de vastes opérations de plusieurs milliards de dollars liées à ce sujet mais elles sont très, très énigmatiques et très difficiles à démêler. En 1994, j’avais un entretien avec le sénateur Byrd qui représente la Virginie de l’Ouest et fait partie du conseil général, qui avait un droit d’accès ultrasecret et un pouvoir d’assignation à comparaître, et j’avais un entretien privé avec lui dans la salle de réunion de la Commission des Finances du Sénat et il m’a dit : "Vous voyez, ce sujet-là…" (Il savait que ça existait) m’a-t-il dit, "Même avec un droit d’accès ultrasecret et une assignation à comparaître, je n’ai pas été en mesure de le percer à jour." Il m’a dit – et ici, je le cite… Cet homme-là m’a dit : "Vous avez affaire à l’équipe de première division de tous ce qui est projet hyper secret. Bonne chance à vous." [Rires]… Et c’est de cette façon-là que l’entretien s’est terminé. Par conséquent c’était en janvier 94 ou février 94, alors ça fait déjà un moment et je peux dire à mon tour que ça a été pour moi une frustration, mais que ça a également plutôt éclairé ma lanterne sur la façon dont le pouvoir est exercé, qui le détient et à quel ordre du jour il obéit, et c’est vraiment de ça qu’il faut qu’on parle. A quel ordre du jour il obéit et comment les gens qui sont en train d’écouter cette émission vont-ils influer sur son issue ? GN : Exactement, et comment pouvons-nous le changer avant qu’il ne soit trop tard ? Vous savez, ces plus de quatre cents témoins du gouvernement, de l’armée et du renseignement qui vous ont continuellement permis d’obtenir des informations, mériteraient d’être des héros, j’imagine ? Vous ne pensez pas ? SG : C’est bien ce qu’ils sont, et je dis aux gens – s’ils vont sur notre site internet DisclosureProject.org, et qu’ils voient ces types… J’ai eu un réalisateur de film, une personne des média à Londres, qui m’a contacté la semaine dernière qui disait qu’il n’imaginait pas que ce genre de preuves et d’indices tangibles, et ce genre de témoignages dénonciateurs à la "deep throat" ("gorge profonde", référence au Watergate) existaient, et il était tout simplement totalement – eh bien, c’était un Britannique, alors il a dit qu’il était "estomaqué" ("gobsmacked" en anglais typiquement britannique). J’ai ri et j’ai dit : "Eh bien, nous essayons de diffuser tout ça du mieux que nous pouvons et nous continuons à nous adresser aux gens qui - par exemple, ABC News est en train de faire une émission spéciale à ce sujet-là qui sera diffusée en février, comme vous savez, mais la chose la plus importante, c’est qu’il faut que les gens qui écoutent des émissions comme celle-ci, des personnes par millions, comprennent qu’ils peuvent agir pour contribuer à ce processus, et si nous n’agissons pas, à ce propos il y a un vieil adage, c’est, comme on dit, que la seule chose qui permette au mal de gagner, c’est que les gens de bien ne fassent rien, et il suffit tout simplement de jeter un œil rétrospectif à la seconde guerre mondiale et à l’ascension de Hitler et tout ces trucs-là, pour voir que tout ça est absolument véridique. Il faut par conséquent que les gens prennent effectivement leurs responsabilités et il faut vraiment que nous protégions notre démocratie. Eisenhower, qui est un de mes héros – bien sûr qu’il était républicain conservateur, mais ça ne veut pas du tout dire que je sois quelqu’un qui prend parti – mais il a vraiment enfoncé le clou en disant qu’il y avait ce complexe militaro-industriel qui saperait notre sécurité et qui serait, si nous n’étions pas vigilants, une menace pour notre démocratie. Et, comme vous le savez bien, un de nos témoins était un des assistants du Président Eisenhower – le général de brigade Lovekin, qui est avocat en Caroline du Nord, un de nos témoins, et il était jeune homme à l’époque, en 1959-1960, quand il a personnellement vu le Président des Etats-Unis recevoir des rapports concernant les OVNIs, avoir certaines de ces informations entre les mains, mais il s’est aussi aperçu qu’on lui a expressément (et il s’agissait là d’un général cinq étoiles et d’un Président républicain conservateur) menti et qu’on lui a bloqué et refusé l’accès à ces projets industriels qui avaient ces technologies et qui en étaient inondés, et ça a été pour lui une frustration totale, vous savez, il s’agit par conséquent d’un dysfonctionnement qui n’a pas cessé, au moins depuis les années 50. GN : Mais regardez, ces – ce sont des multinationales, je pense – elles savaient que ces Présidents allaient et venaient… SG : Bien sûr ! GN : … tous les quatre ou huit ans, et elles, elles étaient celles qui voulaient rester en place pour une très longue durée. SG : C’est exact, et tout comme un directeur de la CIA va et vient simplement tous les deux à six ans, ou le chef d’état-major des armées ou – je me suis personnellement retrouvé assis au Pentagone avec le directeur de la Defense Intelligence Agency. Maintenant, j’ai des témoins au sein de cette agence, la DIA, qui ont manipulé des matériaux sensibles concernant cette question, pourtant quand le général responsable de cette agence faisait une enquête, la seule chose qu’il obtenait – et là, je ne plaisante pas – je suis assis là, au Pentagone, avec mon conseiller militaire, et le général se lève et se dirige vers sa bibliothèque, et il sort une petite figurine d’extraterrestre de sa bibliothèque et il nous l’apporte. Et il me dit : "Ceci, Dr. Greer, est tout ce qui soit jamais ressorti de mes enquêtes sur le sujet. Je n’ai rien obtenu d’autre que des rires et du ridicule". Et c’était à l’époque le général en charge de la Defense Intelligence Agency. Voilà, et je lui ai pourtant donné des documents et des témoignages qui venaient de la DIA. Par conséquent, toute l’histoire c’est – je vous dirai plutôt franchement qu’utiliser le terme de dysfonctionnement est complètement en dessous de la réalité. GN : Bien, et ces gens que vous avez fait participer, par exemple, à cette conférence de presse du 9 mai 2001, malheureusement, étant donné la tragédie du 11 septembre, ça a plutôt éclipsé l’effet d’annonce, mais je pense que vous êtes aujourd’hui en train de vous ressaisir, Steven, et que le mouvement est en train de reprendre, sauf qu’il s’agit-là de vrais individus ! Ce ne sont pas des acteurs d’Hollywood ! Je veux dire qu’ils sont là autour de nous, il y a des gens du gouvernement, des militaires qui ont choisi de dire : "Vous savez quoi ? Je ne vais pas garder ça pour moi plus longtemps ", et ils se sont présentés. SG : C’est exact, et nous avons le "DD-214" de tous ces gens-là (leurs avis de libération militaire), nous avons diverses corroborations de leur présence sur les lieux, une grande partie des catégories auxquelles appartiennent ces événements, nous avons un tas de témoins et de documents qui corroborent ce qui s’est passé, alors quand les gens disent : "Où sont les indices tangibles ? Où sont les preuves ?" Je dis : "Eh bien, nous les avons. Vous lisez l’anglais ?" J’ai dit ça une fois à un scientifique et il a ri. J’ai dit : "Eh bien, si vous lisez l’anglais, nous les avons, et même si vous ne le lisez pas, ça a aujourd’hui été traduit." Tout le livre qui contient la transcription des révélations que nous avons, qui fait presque six cents pages, a maintenant été traduit en français (aux Editions Nouvelle Terre) et il est en ce moment même distribué dans toute la France. Mais je vous le dis, sur notre site internet, DisclosureProject.org, les gens peuvent voir cette conférence de presse de deux heures, mais vous pouvez aussi vous procurez, au choix, une cassette vidéo d’une heure, de deux heures ou de quatre heures de tous ces témoins de l’armée. Au passage, ce ne sont pas des gens avec une tache floue sur le visage et avec un faux nom. On a montré le nom, le grade et le matricule, on a mis le paquet. GN : Les vrais MacCoy. SG : Pas seulement un ou deux d’entre eux, mais des dizaines et des dizaines et des dizaines d’entre eux. GN : Et ils continuent de se présenter, et est-ce qu’il s’en présente toujours, alors ? Est-ce que vous avez d’autres gens qui aimeraient faire des révélations ? SG : Oui. En fait, la semaine dernière, nous en avons eu plusieurs, et l’un d’eux est un important fournisseurs ultrasecret de Lockheed, du domaine de l’aérospatiale, et je vais vous faire profiter de vive voix de ce dont il nous a fait part, et je demanderai s’il y a d’autres personnes qui aimeraient se présenter pour corroborer ce dont je vais vous faire part. C’est une information très importante. GN : Quand nous ferons la coupure de la demie, Steven, et ensuite nous y reviendrons et nous parlerons de ça. Pourquoi ont-ils tant attendu ? Je veux dire, voilà, vous avez eu ce projet majeur de révélations en 2001, vous avez toujours de plus en plus de gens. Qu’est-ce qui fait qu’ils prennent conscience, du style "Je vais en informer la population" ? SG : Eh bien, il y a différentes questions. En premier, je pense qu’ils ont manqué de meneurs. Ce sont des gens qui ne se connaissaient pour la plupart pas entre eux – ils étaient isolés. Ils avaient besoin, en un sens, d’une structure qui les soutienne, et c’est ce que nous avons créé, et c’est moi qui ai en quelque sorte été à l’origine du mouvement, mais il y a ceux qui ont vraiment sorti la tête du rang. Je veux dire, je dis au gens que je ne suis qu’un médecin de campagne, ici en Virginie, qui a été impliqué dans tout ça. Mais ces types qui ont eu, qui ont encore dans beaucoup de cas, des droits d’accès ultrasecret, ont vraiment eu besoin d’être soutenus, et quand ça en est arrivé à cette masse critique de quelques-uns d’entre eux, pour des dizaines d’entre eux et ensuite pour quatre ou cinq cents de ceux-ci, ils se sont alors suffisamment sentis en sécurité pour le faire. Ils ont senti qu’ils ne seraient pas exposés au ridicule et ils nous ont fait confiance pour ne pas les embringuer dans un tas de trucs dingues et hypothétiques, qu’on s’en tiendrait strictement aux témoignages, aux preuves, aux documents, et c’était l’accord que nous avions passé, ils avaient confiance en notre action. GN : Ce qui m’a plu chez vous, Steven, dans les années où je vous ai même vu parler avec Art Bell, ça a été cette approche exempte d’absurdités que vous avez appliquée à ce sujet très sérieux, et je pense qu’il est on ne peut plus important qu’il y ait ce genre d’approche et, vous savez, on fera pour ça tout ce qui est en notre pouvoir pour vous ici, dans cette émission. SG : C’est un soutien nous apprécions. GN : Le Dr. Steven Greer, notre invité, sera de retour dans un instant. Nous en dirons plus sur certains de ces nouveaux témoins du Disclosure Project. [Pause publicitaire] GN : Et bienvenue à nouveau sur Coast to Coast. C’est George Noory qui vous parle avec notre invité de ce soir, le Dr. Steven Greer, Steven, vous nous parliez d’un fournisseur du secteur de l’aérospatiale qui est venu vous voir, je suppose, tout, tout au début de ce Disclosure Project, ou est-ce que c’était bien après ? SG : Non, tout ça se passait la semaine dernière. GN : Juste la semaine dernière ? SG : Exactement, et c’est pour ça qu’il me semble important de vous en faire part, et il voulait expressément que j’en fasse part parce qu’il s’agit d’une situation où le temps est précieux et qui évolue, et vous verrez pourquoi dans un moment. Par conséquent, je crois qu’il est important que les gens entendent ça, et je pense que d’autres gens qui sont à l’écoute le savent. Rappelez-vous qu’une des façons qui nous a permis de corroborer des choses était de savoir que nous nous retrouverions face au public dans une émission comme celle-ci pour dire : "Ecoutez, s’il y a d’autres personnes au courant de cet événement ou de ce projet, vous êtes priés de me contacter directement par le biais de DisclosureProject.org, notre site internet, et nous travaillerons effectivement avec vous par tous les moyens possibles." Et c’est par conséquent important qu’un travail en réseau de ce genre s’établisse. C’est véritablement – c’est vraiment essentiel. Je veux dire que ce n’est pas comme si nous avions par hasard agité une baguette magique pour que tout ça arrive. C’est vraiment un travail et un travail en réseau difficile, et nous attendons du public et des gens qui nous écoutent ici, ceux qui sont concernés et intéressés par cette question, qu’ils fassent en sorte que tout ça survienne, et c’est vraiment comme ça que c’est arrivé. Vraiment. GN : Absolument, et une nouvelle fois, DisclosureProject.org représente le moyen de vous recontacter, exact ? SG : C’est juste. GN : D’accord, maintenant, cette personne, cet individu, comment est-il venu à vous ? SG : Eh bien, il nous a en fait abordé par l’intermédiaire du site internet, et nous avons eu plusieurs échanges et sommes entrés en communication avec lui, et c’est un type qui est chez Lockheed Martin et – voulez-vous que je vous fasse part de ce qu’il nous a dit ? GN : Tout à fait, Steven. SG : C’est vraiment assez fort. Il l’a dit mieux que je ne saurais le faire. C’est intéressant, parce que dans une des conversations successives que nous avons eues, il a dit : "Nous observons ce projet (il voulait dire le Disclosure Project) avec grand intérêt, et nous pourrions plus tard décider de révéler un plus grand nombre d’identités. Je suis vraiment très peu habitué à ce genre de choses. Il y a quelques semaines de ça, j’étais pratiquement certain que les OVNIs n’existaient pas, pas plus que des extraterrestres dignes de ce nom, et je pensais que les gens qui se présentaient étaient vraiment "atteints"" [petits rires]. Maintenant, il ne prend plus ça autant à la légère. C’est vraiment intéressant, à cause du projet dont il a aujourd’hui été informé, cet homme est par conséquent quelqu’un qui a fait carrière dans le domaine de l’aérospatiale, comme ça a été le cas pour mon oncle. Et ce qu’il dit, c’est (je vais tout simplement vous en faire part), il dit que : "Je suis quelque part mort de peur de me présenter avec des informations pareilles, mais j’ai l’impression qu’il est de mon devoir de patriote de faire ça. J’ai passé une grande partie de ma carrière professionnelle chez Lockheed Martin, dont une période importante à l’installation de Marietta, en Géorgie. Mon travail est en grande partie classifié et je refuse catégoriquement de divulguer mon identité maintenant. Je me préoccupe trop de la sécurité de ma famille et de celle de mes collègues pour ça." Ce qui est bien sûr compréhensible. [Continuant à lire] "Vous n’ignorez sans doute pas que Lockheed Martin a été impliquée dans divers stades de la mission Cassini vers Saturne. Les images du vaisseau sont développées et analysées au "Space Science Institute" de Boulder, dans le Colorado, là où se trouvent mes principaux contacts. Pour en venir directement au fait, certaines de ces images ont révélé la présence non seulement d’un, mais de plusieurs grands "engins" d’origine non terrestre. L’aperçu a directement été observé par… " [Les gens avec qui il travaille. Je ne donnerai pas de nom] "Les angles que présente l’"engin" sont de telle sorte qu’on ne les trouve généralement pas dans la nature et il est ainsi évident qu’il ne s’agit pas d’astéroïdes ou d’autres débris pris dans le champ d’attraction de la planète… " Ecoutez la description – c’est fascinant ! Les objets se présentent comme des "soucoupes striées, ayant la forme classique d’une soucoupe volante, avec plusieurs arêtes qui s’échelonnent en partant du centre pour créer une forme quasiment prismatique. Vues du dessus, ils ont une forme qui rappellerait quelque peu une toile d’araignée sphérique. Ce que j’appelle un échelonnement ne semble pas apparaître comme des structures séparées, elles sont au contraire constituées par l’enveloppe de l’engin : leur description rappellerait celle d’une aile de chauve-souris. Si vous êtes en mesure d’imaginer la peau d’une chauve-souris recouvrant ses doigts, et donnant leur structure aux ailes… " GN : Et c’est également une bonne analogie, parce que vous en avez vraiment une image [dans votre tête]. SG : C’est vraiment intéressant. C’est une excellente description. [Continuant à lire] "Les photos sont nettes. Je n’en sais pas tellement plus sur ces objets ou ces engins, mis à part le fait que leur présence n’était pas totalement inattendue [ça, c’est vraiment intéressant] et qu’elles n’ont pas particulièrement alarmé les diverses agences. Mais la suppression des images a été considérée comme une chose qui allait de soi." Voilà en tout cas, et ça continue. Je ne veux pas prendre trop de temps parce que je pense qu’il n’est pas vraiment poli de lire, mais cela donne une idée du type d’informations. Maintenant tout ça est un truc en cours dont les images viennent d’être prises et il y a quelque chose qui se trouve maintenant sur internet, une image de Cassini, et dont on est quasiment certain qu’il s’agit d’un artefact. Et ça cependant, ce qu’il est en train de décrire, représente clairement des structures artificielles en mouvement là-bas. Maintenant c’est intéressant, parce qu’il dit que ce n’était pas inattendu, et ce que je fais remarquer aux gens, c’est que ça, c’est parce que depuis que nous envoyons n’importe quel truc en l’air en direction de l’espace, nous rencontrons ces objets, y compris pendant les atterrissages sur la Lune. GN : Eh bien, on dirait qu’ils nous suivent, n’est-ce pas ? SG : Oui, et ils, bien sûr, ils observent tout ce que nous faisons en tant que civilisation. Il est évident, à mon avis, qu’ils s’inquiètent du développement d’armes dans l’espace, du développement d’armes de destruction massive et d’une civilisation qui, à ce stade de notre évolution sociale et si vous voulez, spirituelle, provoque encore des millions de morts parmi ses propres populations, dans des guerres qui s’étendent jusque dans l’espace. Mais en tout cas, le fait, bien sûr, qu’il soit tombé sur cette [information] plutôt nouvelle – c’était quelqu’un qui n’a été impliqué dans cette sorte de chose que très récemment. Mais il est intéressant qu’il ait noté le fait que leur rencontre n’était pas inattendue, ce qui est, bien sûr, ce sur quoi je peux m’attendre à tomber aujourd’hui, de beaucoup, beaucoup de témoins de divers organismes et sociétés qui ont corroboré des rencontres avec ces objets, pas seulement sur une orbite proche de la Terre, mais aussi près de la Lune, de Mars, et de certaines des planètes extérieures, au cours de missions spatiales de reconnaissance et que sais-je encore. GN : Et ce qu’il dit-là, même si ces informations sont nouvelles à propos de Cassini et de Saturne, ce qu’il dit-là n’est donc pas différent de ce que ces autres témoins vous avaient dit avant. SG : Exactement. C’est une trame identique et qui corrobore tout ça, et ça n’a de sens, à mon avis, que si c’est évidemment le cas. Nous avons par exemple deux ou trois témoins qui participaient à "Lunar Orbiter". Il s’agit, vous le savez bien, de l’opération de repérage et des sondes que nous avons envoyées vers la Lune avant d’y atterrir vraiment en juillet 1969, et un de nos témoins se trouvait à Langley où il y avait une installation secrète, gérée à l’époque par la National Security Agency, qui avait un personnel international, mais hyper secrète, où ils prenaient des images et les gardaient cachées, qui avaient – qui montraient – des objets et des structures artificielles déjà sur la Lune, et c’était des clichés de Lunar Orbiter qui dataient du milieu des années soixante, avant que nous n’alunissions en 69. Par conséquent – et on les développait, et c’était vraiment de la routine, et ce témoin que nous avons était là-bas et a vu ça, et il travaillait avec un homme qui a sorti ces énormes clichés qu’il développait, sur lesquels il travaillait, qui lui a montré ces structures. Et ce témoin figure évidemment dans le livre "Disclosure" et sur les vidéos que les gens peuvent voir sur DisclosureProject.org, mais la façon dont c’était traité et la façon dont cet homme, des années plus tard bien sûr (je veux dire qu’on en a parlé quarante ans plus tard), a décrit ça aujourd’hui est vraiment, vraiment, vraiment ressemblante. GN : Comment avez-vous été en mesure, parce qu’il n’a pas révélé qui il était et c’est une chose que je peux comprendre. SG : Oh si, il l’a fait. Nous le connaissons parfaitement. GN : Oh vous savez qui c’est, mais vous ne pouvez pas nous le dire. SG : Oui. GN : D’accord, très bien, c’est une bonne chose parce que je m’apprêtais à dire, vous, vous avez donc le sentiment qu’il est authentique. SG : Oh oui, et il n’y a aucun doute là-dessus et mais ce qu’il veut que nous fassions et c’est pourquoi je vous fais part de ça, c’est qu’il y a d’autres gens qui ont à mon avis certainement connaissance de ça et qui ont une expérience similaire de cette question, et nous aimerions que ceux-là sortent la tête du rang et entrent en contact avec nous, et c’est ce que j’invite les gens à faire, qu’ils nous mettent au courant s’ils ont des informations supplémentaires là-dessus, et sur des questions liées à ça. GN : Bien, vous parlez du rôle que jouent certaines de ces sociétés, Steven. Que font-elles ? Je veux dire, est-ce qu’elles essaient de reproduire ces objets ? Est-ce qu’elles développent des systèmes qui ont un rapport ou un autre avec eux ? Quel est exactement leur rôle ? SG : Eh bien, elles ont divers rôles, qui dépendent de la société concernée. Les véritables agissements, les agissements vraiment importants qui perdurent depuis les années 40 et 50, objets de frustration pour le Président Eisenhower, aussi bien que pour le Président Clinton et pour d’autres – c’est tout autant un programme clandestin de ce genre-là, quand on parle d’agissements mafieux, et ce, jusqu’à récemment. Maintenant je ne sais pas si vous voulez qu’on aborde ça, mais GN : Parlons-en un peu, pas de problème. SG : Et bien, c’est là quelque chose de difficile, et tous ceux qui me connaissent savent que je suis quelqu’un qui n’a absolument pas de parti pris et, mais pour être plutôt franc, ce n’est pas l’actuel Président, mais ceux qui sont derrière lui qui sont au centre de ce groupe, qui sont au centre de cet ordre du jour, et c’est là la situation la plus dangereuse qu’aient connue les Etats-Unis depuis leur fondation. GN : Et il pourrait être tout à fait possible qu’il ne sache même pas ce qui est en train de se passer à ce sujet. SG : Eh bien, le problème, c’est que –
c’est pour moi vraiment difficile à dire parce que les deux
tiers des gens qui me soutiennent sont des républicains conservateurs,
mais si nous remettons George W. Bush et cette Administration aux affaires
jusqu’en 2009, il est pratiquement certain que nous allons nous
engager encore plus avant dans un ordre du jour globalement militariste,
qui va se terminer par une tragédie ayant des proportions incalculables.
Malheureusement, l’actuel Président… Maintenant, son
père est profondément impliqué dans ces questions.
Comme Cheney, et comme Rumsfeld. J’ai des documents et des gens
qui peuvent établir ça. Maintenant les gens vont être
perturbés en entendant ça. Je demande toujours aux gens
: "Vous voulez vraiment entendre la vérité ou GN : Bien, mais vous ne pensez pas que même si c’est une autre Administration qui arrive, ces maniaques du pouvoir seront capables d’adapter leur influence ? SG : Non, pas de la même façon. C’est là toute la différence. Clinton, par exemple, a été complètement mis sur la touche sur ce plan-là. Maintenant, il n’a pas fait quoi que ce soit pour y remédier, et c’est pour ça que je rouspète contre l’Administration Clinton. Je joue sur les deux tableaux – [rires] vous savez, je vais me retrouver cerné de tous les côtés à propos de tout ça, et tout le monde va probablement m’en vouloir – mais j’ai été fortement déçu que le Président Clinton, qui a expressément été informé à ce sujet par notre équipe et à qui on a donné toutes les preuves de ça, et à qui on a demandé de faire jouer l’exécutif pour résoudre le problème avant qu’il ne soit trop tard, n’ait pas, pour être plutôt franc, eu le courage de le faire. Mais c’est en fait vraiment une différence d’être le renard qui guette devant le poulailler, et d’arriver à pénétrer dans le poulailler. C’est ce que nous avons avec l’Administration actuelle. C’est à mon avis la plus grande menace qui pèse sur la démocratie américaine, sur notre environnement et sur l’avenir de cette planète depuis que les Etats-Unis ont été fondés, et il y a des gens de la famille de ma mère qui ont fait partie des fondateurs originaux des Etats-Unis. Alors regardez, je ne cherche pas à tout prix à descendre les libéraux en flammes, mais je vous dis que si cette Administration particulière ne se fait pas museler, nous nous préparons à de très gros ennuis, et oubliez le 11 septembre comme la guerre en Irak. On parle là de choses qui seront cent fois pire que ça. GN : Il va alors falloir que je vous demande, Steven, de vraiment me dire ici de quoi vous êtes en train de nous parler. SG : Je suis en train de parler du fait que l’Administration Bush, pas le Président lui-même, parce qu’il est, franchement, à mon avis, "W" est la terrible victime d’un ordre du jour à long terme qui implique une cabale ou un groupe de gens qui comprend son père, Cheney, et Rumsfeld et tout un tas d’autres gens, comme tous ces larbins de l’industrie dont je parle, qui ont exercé des manipulations qui ont fait que le Président ait pris des décisions qui se sont révélées désastreuses. En d’autres termes, je déteste utiliser le mot "pigeon", mais il a été mal servi, profondément mal servi par ces gens-là. Le problème, c’est que s’il est réélu, ces mêmes gens se retrouveront là avec lui et… GN : Mais qu’est-ce que tout ça a à voir avec ce sur quoi vous enquêtez avec le Disclosure Project, l’énergie du point zéro ? Voilà ce que je voudrais savoir. J’ai besoin de savoir comment faire le lien. SG : Le lien avec ça, c’est que les gens qui sont au centre de la situation actuelle, avec l’Administration actuelle, sont des gens qui sont depuis longtemps liés à la dissimulation qui touche la question des OVNIs, la gestion illégale de ces opérations concernant l’industrie, l’armée et les renseignements. Ce sont ces gens qui… GN : D’accord, admettons. SG : Ils font ça sous notre nez. GN : Admettons que tout ça soit vrai. SG : Mais, c’est vrai. GN : Mais ça fait maintenant soixante ans que ça dure, avec divers groupes de gens. SG : Mais pas à ce niveau de pouvoir. Vous voyez, si c’est un pouvoir clandestin et que c’est manipulé en coulisse, c’est une chose. Mais c’est une autre chose si ce pouvoir clandestin émerge et opère une mainmise directe sur le pouvoir qu’a la branche exécutive du gouvernement des Etats-Unis. Et c’est ça qu’on a. Je ne peux pas être plus clair que ça. J’ai de très bons amis qui savent ce que je viens de vous dire, et ce sont de vieux républicains, qui ont collecté de l’argent pour le parti républicain, et ils m’ont dit : "Tu as tout à fait raison. Je ne peux pas voter pour Kerry, mais je ne tirerai pas le levier pour Bush et pour Cheney", quand ils ont appris ce qui se passait. Maintenant, c’est un truc étonnant. Je veux dire, ce n’est pas moins que le fils de Dwight Eisenhower lui-même, qui est un vieux républicain, qui s’est exprimé pour en dire autant, sauf que ce n’était pas lié à cette question. Mais un tas de gens en place savent que c’est lié à cette question, qu’il y a un ordre du jour transnational qui est global, militariste et extrêmement dangereux, et ça s’est accru. Ça s’est considérablement accru au cours des 3 ou 4 dernières années, et je pense que ça va s’aggraver encore, à moins que le peuple américain n’apprenne tout ça et prenne la décision de changer les choses, et il faut que ça se fasse. GN : Que pensez-vous, si on fait rapidement le tour des aspects négatifs, que pensez-vous qu’il pourrait arriver ? SG : Franchement, je crois que si – eh bien, il y a cette merveilleuse expression chinoise qui dit : "Si nous ne changeons pas de direction, nous allons probablement nous retrouver là où nous allons." Pour être plutôt clair, la direction présente, que ces gens-là ont forcé les Américains à prendre, va nous mener à une situation de terrorisme considérablement aggravée. Mais au final, l’ordre du jour, maintenant, rappelez-vous que c’est ce que le porte-parole de Wernher von Braun nous a rapporté – le Dr. Rosin – ce que Wernher von Braun, l’inventeur des fusées, lui avait dit sur son lit de mort. J’ai de nombreux autres témoins qui corroborent ça, qui étaient dans la CIA, dans la NRO – l’agence de l’Air Force, et d’autres qui ont corroboré tout ça, que leur ordre du jour à long terme était de passer de la guerre froide au terrorisme global. Maintenant, souvenez-vous qu’on a rapporté ça avant le 11 septembre dans le Disclosure Project, que ça serait remplacé par la mise en scène d’une menace venant de l’espace, et que le monde s’unifierait autour d’une réponse militaire globale qui nous précipiterait dans un scénario du type Armageddon au niveau de l’espace. Ça peut sembler fou, mais si vous aviez dit à quelqu’un que le 11 septembre allait se passer comme il s’est passé, ou comme ils disent que ça s’est passé, les gens auraient dit que vous aviez fumé des trucs. Le fait est que les grandes lignes de cet ordre du jour ont été données dans les années 60, et il y a des gens de l’Administration actuelle qui peuvent faire le lien avec les années 60 et 70, ayant littéralement été impliqués dans l’élaboration de cet ordre du jour. Maintenant, la plupart des républicains savent-ils ça ? Absolument pas, mais il faut qu’ils le sachent, parce que leur parti a été utilisé et détourné de sa fonction par ces intérêts-là, et c’est là quelque chose de très, très dangereux. Maintenant, dans le passé, au niveau, disons, des années 50 et 60, il y avait une infiltration des deux partis qui était d’une certaine manière plus équilibrée, mais tout ça a radicalement basculé au cours des 5 à 10 dernières années, et c’est véritablement une tragédie. J’étais assis avec Barry Goldwater, je ne sais pas si vous vous souvenez du Sénateur Goldwater… GN : Certainement que si ! SG : … qui s’est présenté pour les présidentielle en 64, un type génial. J’étais personnellement assis chez lui et j’ai parlé de ça une après-midi entière avec lui. GN : Et il y a eu cette fameuse publicité à la télévision que LBJ (Lyndon B. Johnson, son adversaire) avait fait passer, qui fait qu’il a été éjecté. C’était cette image d’une explosion nucléaire. SG : Exact, et laissez-moi vous dire que Barry Goldwater était un grand supporter de ce que nous essayions de faire. J’ai une lettre de lui ! GN : Exact, je me souviens de ça ! SG : Oui, ah, absolument ! Maintenant, lui et moi, on a parlé de ça et il m’a dit à l’époque (et ça c’était en 1994 ou 95, je n’arrive pas à me souvenir, ça date du milieu des années 90) et Barry – le Sénateur Goldwater – m’a dit, il a dit : "Eh bien, Dr. Greer, il dit comme ça, vous savez que mon parti (que, vous savez, il était en quelque sorte le fondateur de l’aile néo-conservatrice du GOP (Grand Old Party, le parti républicain)), il dit comme ça : il a été détourné de sa fonction par ce genre d’intérêts." Je l’ai regardé. J’ai dit : "Qu’est-ce que vous en savez ?" Il a dit : "Eh bien, c’est absolument ce qui s’est passé !" Et c’était intéressant d’écouter son point de vue là-dessus, celui d’une sorte de descendant, avec cet espèce d’air de belle figure de lion de l’establishment républicain qui se lamentait devant moi. Maintenant je n’ai jamais raconté ça en public. On a beaucoup parlé d’OVNIs et de programmes clandestins, de gens qu’il connaissait, qu’il allait essayer d’apporter son aide, de nous aider, et ceux-ci ont fini par lui défoncer le crâne, on peut carrément le dire. Il les avait rendus fous furieux, mais – ’voulez des noms ? Je suis prêt à les donner. GN : Je veux que vous gardiez ça pour après, on va cependant faire cette pause, et nous reprendrons l’antenne ensuite. Je voudrais vous parlez un peu plus de ça, Steven, parce que vous savez, si presque chaque Président a pourtant été – avait la tête sous l’édredon, qu’est-ce qui vous fait penser qu’il ne va pas se passer la même chose si quelqu’un d’autre est élu, par exemple ? Mais je reviendrai là-dessus. Nous parlerons de sources d’énergie alternatives dès que nous serons à nouveau à l’antenne. [Pause publicitaire] GN : Bienvenue à nouveau sur Coast to Coast. C’est George Noory qui vous parle avec le Dr. Steven Greer. Steven, le point que je voulais faire remarquer avant le passage de l’heure, c’est que si ceux qui tirent les ficelles – peu importe qui ils sont censés être – sont là, peu importe de savoir qui est aux affaires parce ce seront toujours eux qui tireront les ficelles. SG : Eh bien, évidemment qu’ils vont tirer les ficelles, mais c’est une chose si celui qui tire les ficelles le fait clandestinement en coulisse, c’en est une autre d’arriver à savoir qu’ils ont été en mesure de prendre le contrôle direct et total des institutions de la branche exécutive du gouvernement. L’autre chose dont il faut se souvenir, c’est que "Nous, le Peuple" devons maintenir ces types sur le droit chemin et veiller à ce qu’ils restent honnêtes, et être aussi vigilants que possible sur ce qu’ils font. Rappelez-vous ce qu’Eisenhower disait. Il disait : "Seuls des citoyens vigilants, qui seraient actifs et aux aguets, seraient capable de prévenir de tels abus." Et si vous lisez son discours, le dernier discours qu’Eisenhower ait fait à notre pays avant de quitter ses fonctions en janvier 1961, il a vraiment insisté là-dessus avec force, et je pense que c’est ça que je voudrais faire remarquer, qu’il faut que nous soyons vigilants, que, vous savez, encore une fois, je ne me suis jamais mêlé de politique politicienne. Je n’aime pas la politique, mais le fait est que la branche exécutive du gouvernement est vraiment puissante. Maintenant elle a seulement le pouvoir que la personne à ce poste est décidée à exercer. Maintenant, dans le cas du Président Clinton par exemple, il avait ce pouvoir, mais il a eu peur de l’utiliser. Un bon ami à lui est venu me voir chez moi à brûle-pourpoint et m’a dit : "J’ai peur que – on a peur que si le Président fait ce que vous préconisez, il finisse comme Jack Kennedy." Et j’ai éclaté de rire. J’ai littéralement éclaté de rire. J’ai cru que le type plaisantait parce que ça se passait en 94, et il dit comme ça : "Non, je ne plaisante pas". Et j’ai bien sûr été sidéré. J’ai dit : "Là, vous me faites marcher !" Et il s’agit-là d’un ami très proche du Président Clinton. Et j’ai dit : "Eh bien, regardez, je – encore une fois, je suis médecin de campagne en Virginie. Je suis au département des urgences, ici. Voilà ce que j’ai découvert. Lui, c’est le Président. La responsabilité commence là." Mais il faut que les gens gardent cette responsabilité à l’œil, est-ce qu’elle a vraiment tenu la route jusqu’à maintenant, ou est-ce qu’elle a plus ou moins été détournée ? Dans le cas présent, vous avez une situation où vous avez un Président américain dont l’Administration est truffée de gens qui dirigent ce genre de cabale, qui font partie du complexe militaro-industriel-pétrolier-énergétique qui a gardé ces trucs secrets, et qui nous ont maintenus sur la voie que nous sommes en train de suivre. Par conséquent, je pense que c’est vraiment quelque chose, encore une fois, que "W" soit largement au courant ou pas de ça (je suis quasiment certain qu’il ne l’est pas parce que je connais des gens qui sont très proches de lui) mais c’est ce qui s’est passé, c’est une tragédie, et je ne crois pas qu’on puisse y remédier. Maintenant, admettons qu’une autre personne arrive là, mais que son Administration ne soit pas directement truffée de ce genre d’activistes. L’écart serait plus important et il serait plus difficile de faire progresser cet ordre du jour. C’est ça que je suis en train de faire remarquer. Et je ne fais pas remarquer quoi que ce soit d’autre en ce qui concerne les questions politiques, mais si les gens demandent, et vous avez demandé vous-même : "Qu’est-ce qui est en train de se passer ? Qui est derrière ça et pourquoi ?" C’est une grande partie de cet ordre du jour, et il a infiltré de nombreuses institutions, et le processus politique malheureusement, comme jamais jusqu’à ce jour, et c’est ça qu’il faut que les gens retiennent. GN : Et ça, est-ce que ce n’est cependant pas un problème d’envergure mondiale pour n’importe qui sur cette planète ? SG : Ça l’est bien, c’est éminemment transnational, et les Etats-Unis y jouent évidemment un rôle clé, mais rappelez-vous de l’ordre du jour en vigueur, même dans les années 50 et 60, j’ai des gens qui m’ont certifié qu’il y avait des programmes clandestins aux Etats-Unis qui fonctionnaient en coopération avec l’Union Soviétique pendant les pires heures de la guerre froide sur ces mêmes questions, ça a par conséquent été quelque chose qui a été géré hors des écrans radar de manière vraiment mystérieuse, mais cette espèce de gouvernement mystérieux a maintenant pris pied dans le gouvernement légitime. GN : Eh bien voyez, mais revenons… SG : C’est là un processus de métastases. C’est une chose vraiment dangereuse. GN : Revenons cependant en arrière. A l’époque. Véritablement à l’époque de [l’incident de] Roswell, au sujet de quoi les révélations ne sont jamais venues – SG : C’est vrai et c’était Truman, rappelez-vous. GN : … et on continue d’en rajouter encore, encore et encore. SG : Exact. GN : Ma remarque, c’est qu’il importe peu de savoir qui est élu, les révélations se feront seulement si les gens continuent à se présenter… SG : Exactement. GN : … en grand nombre. SG : Mais à un moment donné, il faut que nous soyons certains que ce – que ce genre d’ordres du jour véritablement effrayants, à forte composante, disons-le carrément, eschatologique, ne soient pas investis de trop de pouvoirs, et moi je vous dit qu’ils ont été largement investis de ces pouvoirs sur un mode bien plus grave au cours des quatre dernières années, que pendant les cinquante dernières années réunies. Il faut par conséquent que nous fassions attention, et c’est là un sujet dont on ne parle pas dans la sphère politique. Les gens ne veulent pas en parler et franchement, je n’aime pas la politique, mais le fait est qu’il faut que nous soyons comme Eisenhower le disait, il faut que les citoyens soient sensibilisés aux risques que court notre démocratie du fait que ce genre de choses arrivent, et elles sont arrivées. Tout ça a tragiquement été investi de pouvoirs qui se sont fortement accrus ces dernières années, et je pense que les gens qui sont là et qui écoutent ceci doivent comprendre qu’il faut en tirer les conséquences. Un tas de gens disent : "Oh, peu importe pour qui vous votez." Eh bien, il est plus que probable que cela ait de l’importance quand il y a des choses comme ça qui sont en jeu. Il y a par exemple des membres du Congrès des deux bords tout au long de cette histoire, dont je sais qu’ils ont été impliqués dans ces opérations mafieuses extrêmement mystérieuses. Un député de Californie du nom de Brown, qui était démocrate, a été très largement impliqué là-dedans, et j’ai des témoins qui se souviennent de lui dans une installation secrète alors qu’il trempait dans tous ces trucs avec un ancien Secrétaire à la Défense. De l’autre côté, on a aujourd’hui toujours des gens qui font partie du Congrès. Maintenant, vous savez, vous avez toujours un tas de gens qui disent : "Eh bien, Dr. Greer, mais de qui parlez-vous donc ? Tout ça est si vague." Et si je deviens plus précis, alors ça les fait chier, par conséquent vous savez, c’est comme ce que disait Brian O’Leary, mon ami qui était un des astronautes d’Apollo : "Tu sais, la vérité t’affranchira, mais il se pourrait bien qu’elle te fasse d’abord chier !" Le fait est que la plupart de ces trucs se déroulent pratiquement aux yeux de tout le monde, sauf que les gens n’ont pas fait le lien avec ce que cet ordre du jour représente, et c’est, comme vous l’avez justement fait remarquer, un ordre du jour qui est transnational et qui s’étale sur de nombreuses décennies, mais il a également été investi de pouvoirs largement accrus par l’Administration et la structure actuelles, et c’est par conséquent quelque chose qui me préoccupe et je suis complètement indépendant et sans parti pris. GN : Eh bien, ce n’est pas ce que vous paraissez être, Steven. SG : Mais je le suis ! Je veux dire que vous pouvez me croire, je le suis. GN : Je veux dire que personne ne penserait une chose pareille. SG : Eh bien, c’est parce qu’ils ne comprennent pas. Vous savez, c’est comme quand quelqu’un dit : "C’est une question partisane ?" Eh bien, il se trouve que ça implique le processus politique, alors comment voulez-vous passer à côté ? Ce n’est pas du tout que je pense que le fils de Dwight Eisenhower soit un militant anti-républicain. Mais il est concerné. Il y a là des choses qui devraient susciter une grande inquiétude. GN : Oui, mais depuis Eisenhower, on a eu, quoi, neuf Présidents si on les compte tous ? SG : Non, je parle du fils d’Eisenhower. GN : Non, je sais, mais je suis en train de dire que depuis Dwight Eisenhower, on a eu neuf Présidents, d’accord ? Y en a-t-il eu un seul – un seul qui ait contribué à ce qu’une des choses sur lesquelles vous enquêtez, qui sont les OVNIs, soit révélée ? Pas un seul. SG : C’est vrai, et ceci a été un – vous pouvez me croire, c’est une affirmation tout aussi valable quant à la nature du problème. Ce sont deux domaines. L’un est – c’est comme pécher par omission, je déteste utiliser ce terme, mais dans le cas de l’Administration Clinton, ils ont à mon avis négligé de prendre la question en charge et de faire ce qu’il fallait, comme on l’a vu pour d’autres Administrations qui se sont élevées contre ça et qui ont ensuite fait marche arrière. Maintenant c’est très différent, et c’est une question de courage et de ce que j’appelle un vrai leadership, cette sorte de leadership dont John McCain parle, un homme que j’admire énormément. Cette sorte de courage-là. Maintenant c’est très différent d’investir des gens de pouvoirs alors qu’ils participent activement à la promotion de cet ordre du jour, un ordre du jour qui est une nuisance pour le monde, une nuisance pour la sécurité nationale des Etats-Unis. GN : Mais c’est ce qu’ils font tous. C’est ça ma remarque. Ma remarque, c’est qu’aucun d’entre eux n’a fait quoi que ce soit pour apporter son aide. SG : Eh bien, c’est une chose que de ne pas apporter son aide. C’en est une autre que de faire activement du mal. Vous voyez ce que je veux dire ? Je veux dire que c’est une chose si je suis médecin et que je passe à côté d’un accident de la route, et que je ne m’arrête pas pour porter assistance. C’est terrible, bien sûr, et personnellement, je m’arrête toujours. Mais c’est autre chose que de provoquer volontairement l’accident ! Vous voyez ce que je veux dire ? Ça fait par conséquent une différence notable. Ce n’est pas sans conséquence. Mais en fin de compte, les gens vont devoir apprendre qui est impliqué, quelles sociétés, quels groupes d’intérêt, et quels sont les ordres du jour en vigueur, afin de se creuser la tête sur la façon de remédier au problème et une des choses qui a constitué une avancée à vraiment faire froid dans le dos, que mes amis de l’aile conservatrice du parti républicain (et je ne parle pas de la droite religieuse, mais des gens de l’aile conservatrice traditionnelle, comme Barry Goldwater) – ça a été la confiscation de la plupart des ordres du jour par des gens qui sont réellement en train d’essayer de promouvoir une quasi-théocratie. GN : Eh bien, je crois… SG : Une théocratie d’un genre vraiment étrange. GN : Je crois que ce que vous essayez de dire, et vous ne l’avez pas encore dit, alors je vais vous paraphraser, c’est que l’actuel Président s’est entouré de gens qui ne sont pas les bons. SG : Oui, et il a été mal servi. J’ai dit ça tout à l’heure. Il a tragiquement été mal servi. GN : Et pas besoin d’être un scientifique de pointe pour comprendre, avec Halliburton par exemple, où le FBI est maintenant en train d’enquêter sur les affirmations d’un dénonciateur, du fait de toutes les atrocités qui sont en train de se passer et ainsi de suite, vous savez, et je ne veux pas m’étendre plus longtemps sur des échéances électorales, spécialement quelques jours avant une élection nationale. SG : C’est vrai, mais ce sont-là le genre de sujets qui accompagnent toujours des trucs comme Halliburton, mais ce genre de corruption-là est endémique, malheureusement, dans le système et le système a réellement – il faut que les gens – vous m’avez demandé tout à l’heure pourquoi il y a tant de ces types de l’armée qui se présentent et ce sont là – celui dont je viens de vous faire part, il a commencé en disant : "Il est de mon devoir patriotique de faire ça." Ce sont là des hommes et des femmes de bien qui comprennent que les choses qui sont en train de se passer ne sont pas seulement en train d’affecter le monde, mais spécifiquement les Etats-Unis qu’ils ont servis en risquant leur vie, et je pense qu’il faut que les gens soient conscients qu’il y a énormément de choses en jeu et que si nous ne changeons pas d’orientation, tout ça va se terminer d’ici quelques temps sur cette même voie plutôt désastreuse. GN : Eh bien, il va probablement falloir autre chose qu’un simple changement de direction, Steven, parce qu’il est évident qu’aucune Administration, par exemple, ne va contribuer à ce que nous ayons des énergies alternatives. Ils peuvent toujours nous dire ça depuis des années. Je veux dire que je me souviens de Jimmy Carter qui disait dans les années 70 : "Il faut qu’on change tout ça." Et rien n’est arrivé. Ça fait trente ans de ça ! SG : Eh bien, ils ont inversé la vapeur dans les années 80, mais ce que je veux faire remarquer… Regardez, voilà l’autre chose que je veux faire remarquer. Disons que Kerry se pointe. Je joue sur les deux tableaux – vous savez – il faut se mouiller. Il y a des gens qui veulent nous diriger. Demandons-leur de le faire ! Si Kerry se pointe et qu’il s’en tient à la même direction et qu’il n’apporte pas son soutien à des recherches sérieuses dans le domaine de l’énergie du point zéro, de nouveaux systèmes de propulsion, il faudrait qu’il soit viré de son poste – absolument ! Et je crois que c’est ça, la question. Il faut que le peuple américain apprenne quelles sont les vraies questions et qu’il fasse en sorte que nos dirigeants nationaux s’attachent à diriger ! Et ça ne s’est pas fait parce qu’il y a malheureusement cette immense passivité. Je veux dire que vous n’allez jamais faire passer ça dans les principaux média, malheureusement, parce que la seule chose qui soit à mon avis plus corrompue que Washington, ce sont les grands média, malheureusement. Mais – et je crois franchement que c’est vrai, mais je crois que le peuple américain a besoin de comprendre que nous avons-là une situation urgente, si ce n’est cruciale, avec l’énergie et l’environnement et un tas d’autres questions qui ont été négligées de tous les bords, mais qui ont été – le rythme des dégâts s’est – considérablement aggravé sous cette Administration au cours des quatre dernières années. GN : Je pense qu’en terme d’énergie, et vous serez d’accord avec ça, ce qui s’est passé dans le domaine de l’énergie est abominable. C’est… SG : C’est très corrompu. GN : … Et environné de cupidité. Je veux dire, nous voilà maintenant en Irak à contrôler les champs pétroliers irakiens… SG : Exact. GN : Et le prix du pétrole échappe à tout contrôle ! SG : Et trônant dans une mystérieuse boîte
noire des ateliers interdits ("Skunkworks" en américain,
littéralement "ateliers moufette") de chez Lockheed (je
sais qui a travaillé là-dessus, messieurs dames), il y a
des dispositifs de production d’énergie et de propulsion
qui pourraient totalement remplacer tout le pétrole, le gaz et
le charbon de la planète, et nos pauvres gars qui sont là-bas
en train de se faire tuer. Vous savez, un ami de Jeb Bush, qui a apporté
son soutien à ce qu’on est en train de faire, le genre de
type qui est dans la finance, m’a dit en février 2003 (je
crois que j’en ai parlé à Art Bell une fois, peut-être
hors antenne, je ne suis pas sûr) – mais en février
2003, il a dit : "Vous savez, on ne trouvera pas d’armes de
destruction massive en Irak." Et ça m’a sidéré.
J’ai dit : "Qu’est-ce que vous voulez dire ?" Je
veux dire que c’est ce que le bon sens dictait de tous les côtés,
de chaque bord du Congrès comme d’un point de vue international.
Et il GN : Eh bien, il ne s’agissait pas que de ça, si – SG : C’est vraiment une tragédie, quand nous avons ces opérations mafieuses qui recèlent la solution. GN : Je suis d’accord, mais il ne s’agissait pas que de ça. C’était un double coup du sort. Je veux dire qu’il n’y a pas de doute que nous avions besoin et que nous voulions reprendre ces champs de pétrole, et en faisant tomber Saddam au passage, c’était deux trucs en même temps. SG : Ouais, c’est vrai. GN : On s’occupe de deux choses à la fois, et c’est ce qu’ils ont fait. Maintenant, dites-moi, si on revient environ un an et demi en arrière, quand vous étiez avec moi en janvier, vous parliez de – vous étiez très proche de découvrir le "saint graal" des énergies alternatives. SG : On en a vu une démonstration, ça c’est certain. GN : Qu’est-ce qui lui est arrivé ? Où est-elle, cette machine ? SG : [Petits rires] Eh bien, d’abord le type – c’est intéressant. Des gens venant de sociétés et de la justice ont intercepté ce type le jour avant – deux jours avant – on avait un jet privé moteurs en route pour aller le récupérer, lui, et cette technologie qui était à l’étranger, et ensuite, ils ont menacé de le mettre en prison et ils avaient toutes sortes de trucs, s’il n’arrêtait pas de coopérer avec nous pour la diffuser. C’était la pagaille la plus complète qu’on ait jamais vu. Je veux dire que vous pourriez écrire tout un livre là-dessus, mais c’est pratiquement l’archétype du genre de pagaille monstre qui a entouré toute cette question des nouvelles énergies. Je veux dire, n’importe qui qui a travaillé là-dedans plus ou moins longtemps, et vous savez, mon bon ami Gene Mallove… GN : Ouais, vous savez, j’allais juste vous posez la question là-dessus. Un meurtre qui n’a toujours pas été résolu, je pense. SG : Oui, Monsieur ! Et, eh bien, je rechigne toujours à faire part de ça, parce que je ne suis pas sûr… GN : Vous feriez aussi bien, vous nous avez fait part de tout le reste ! SG : Eh bien, non, ce n’est pas le cas. Mon ami, je ne vous ai pas dit le dixième de ce que je pourrais vous dire, mais on en aurait pour toute la nuit. Voyez, un homme qui a un de ces dispositifs vraiment similaire à celui que nous avons vu à l’étranger, et au sujet duquel nous nous efforçons toujours de faire revenir cet inventeur aux Etats-Unis pour arriver à le terminer, qui travaille avec nous, avait donné les plans et avait tous les matériaux pour ça, et ils étaient dans la voiture de Gene Mallove quand il a été assassiné… GN : Hmm. SG : … Et quand ils ont bouclé le lieu du crime, ces trucs-là avaient disparu. GN : Ils avaient disparu. SG : Je suis actuellement en train de travailler avec cet homme. Il – nous l’encourageons à mettre ceux-ci en sécurité dans divers endroits. Gene ne disposait pas pour ce qu’il faisait de la sécurité dont nous disposons, que je n’évoquerai pas dans le détail sauf pour dire qu’elle est étendue et que c’est un niveau de sécurité du type "initié". Mais ça m’a embêté quand cet homme nous a envoyé cette lettre qui disait que ce truc-là était arrivé, et ses plans et ce sur quoi il travaille m’ont effectivement l’air d’être quelque chose de très solide. Nous espérons que dans les soixante jours à venir, il y en aura un qui sera fini et que nous serons en mesure de le tester, et il y a quelque chose de nouveau et de complètement enthousiasmant sur la côte ouest à propos d’un homme qui travaillait pour le projet Apollo (pas avec mon oncle, mais il le connaissait) qui a développé un moyen de collecter une résonance de type "champ magnétique". C’est un processus de type "surunitaire" et ils ont déjà un prototype construit qui produit cent kilowatts d’énergie libre et ça, c’est une avancée vraiment significative. On espère faire une visite de l’installation dans les trente prochains jours et apporter notre assistance pour que cette technologie soit diffusée, parce que c’est-là le type de technologie qui pourrait totalement remplacer le réseau électrique, et qui pourrait éventuellement être miniaturisée pour fournir du courant à des véhicules. GN : Il faut que je vous dise une chose, Steven, ça ferait une sacrée différence si nous pouvions tout simplement échapper à notre dépendance du pétrole étranger. SG : Oui. Si on pouvait tout simplement en économiser autant que ça, on serait dans un – on pourrait dire : "Vous savez, regardez, les gars (les cheiks là-bas au Moyen Orient). Vous pouvez avoir tout le pétrole que vous voulez. On n’en veut pas." [Tous deux rient] GN : Prenez ça et au revoir. Vous savez, amusez-vous bien, c’est fini pour vous. SG : Tu parles ! Je pense que c’est là – et tout le monde reconnaît que la question est cruciale. Vous savez, on est en train d’étendre – la CIA et d’autres agents ont étendu notre influence à l’Azerbaïdjan et à quelques-unes des anciennes républiques soviétiques pour obtenir des champs de pétrole. Ils sont en train de travailler durement à une tentative de rapprochement avec la Libye, parce qu’ils ont besoin qu’une plus grande partie de ce pétrole soit mise à la disposition du marché, et depuis qu’on a en quelque sorte eu ce rapprochement, il y a eu cette percée des grosses compagnies pétrolières américaines en Libye. Tout le monde sait que c’est un problème et que c’est une crise bien plus grave que tout le monde ne veut vraiment le reconnaître, parce qu’il ne veulent pas que les gens aient "peur". Mais même le gouvernement saoudien a dit cette semaine que les Etats-Unis avaient largement exagéré l’étendue des réserves saoudiennes en pétrole et que c’était considérablement inférieur à ce qu’on nous avait dit. Alors c’est quelque chose que – on a six milliards d’individus sur cette planète qui veulent vivre comme vous et moi. Vous savez, le Dr. Bearden, qui est un de mes bons amis, et moi, on a parlé de tout ça. Lui, il dit : "Ils veulent tous avoir des voitures et des réfrigérateurs, et manger et travailler." GN : C’est ça le problème. Ils commencent à rattraper le stade où nous nous trouvions il y a, disons, vingt ou trente ans de ça et ils sont en train de commencer à utiliser des ressources qu’on pensait qu’ils n’utiliseraient jamais, et aujourd’hui ce sont tous les gens de cette planète qui les utilisent. SG : Exact. J’ai rencontré un homme à Washington qui travaille – son partenaire en affaires est l’homme le plus riche de Chine – et ils sont en train de construire mille cinq cent nouveaux villages. Ils sont en train d’essayer de calculer comment ils vont les électrifier sans totalement engloutir toutes les matières premières disponibles et causer une crise, et on a par conséquent parlé pendant un long moment, et il dit comme ça : "Vous savez, dès que vous serez en mesure de découvrir quelque chose de ce genre qui soit valable", il dit comme ça : "On a besoin de savoir ce qu’il en est, parce que c’est une situation désespérée qui n’est pas seulement propre aux Etats-Unis, c’est aussi un problème planétaire." GN : Quand nous reviendrons à l’antenne, Steven, dites-nous à quel point nous sommes proches d’une machine à énergie du point zéro et de sa mise sur le marché. [Pause publicitaire] GN : Bienvenue à nouveau sur Coast To Coast, c’est George Noory qui vous parle, avec le Dr. Steven Greer. Steven, je pense que si Nikola Tesla était toujours vivant, il ne serait pas impossible qu’on ait cette énergie libre quelque part autour de nous, vous ne croyez pas ? SG : Eh bien, effectivement, et quand Nikola Tesla était encore vivant, il avait, j’en suis quasiment certain, un de ces systèmes, et il n’a pas été autorisé. Ainsi, vous savez, Le Dr. Bearden et moi, on a rassemblé des documents sur une période qui va littéralement jusqu’aux années vingt, où les gens avaient fait des avancées considérables en ce qui concerne ces dispositifs électromagnétiques qui auraient pu, à l’époque, remplacer les besoins en pétrole et en carburants fossiles. Mais vous ne pouvez bien sûr pas mettre de compteur là-dessus ! Et je crois que c’est J. P. Morgan qui avait dit : "Eh bien, je ne veux pas quoi que ce soit qui ne puisse pas recevoir de compteur et qui ne soit pas payant." GN : Exactement ! Exactement. SG : Par conséquent, vous savez, le monde est tel que nous l’avons créé, que ce soit par laisser-faire, ou par manque de courage, ou par manque de leadership, ou quelle qu’en soit la raison, ou tout simplement de par cette bonne vieille cupidité humaine, mais nous en sommes aujourd’hui au point, dans notre évolution en tant que civilisation, où nous allons avoir à faire face à ces questions, et nous sommes malheureusement la génération qui est la dernière à recevoir cette patate chaude sur les genoux, et c’est nous qui allons devoir nous en occuper. GN : En admettant que les économies de la planète dépendent, disons, des revenus de l’énergie, est-ce que nous serions encore prêts à dépenser de l’argent pour ça ? Peut-être le même argent que nous sommes en train de dépenser aujourd’hui, juste en admettant que ce soit simplement un carburant alternatif ? Ou pensez-vous vraiment que ça devrait être presque gratuit ? SG : Eh bien, ça – ça sera libre au sens où le dispositif lui-même – par exemple, ceux que nous avons vus, comme celui que nous avons vu il y a un an et demi de ça qui a été enlevé, celui dont nous essayons encore de retrouver la piste pour le ramener dans ce pays, c’en était un que nous pouvions prendre pour le sortir sur le trottoir et le faire marcher. Il produisait des centaines de watts de courant à partir du – il faisait marcher des trucs vraiment utilitaires comme des ventilateurs et des appareils stéréo, des ampoules électrique et que sais-je encore. Maintenant, il n’y a évidemment pas de débit électrique que l’on puisse mesurer, mais le dispositif lui-même ne serait pas vendu pour rien. Mais les énormes voies de ravitaillement en carburant de plusieurs milliards de dollars, pour ainsi dire, ou l’électricité produite qui est distribuée à partir de centrales électriques – oui, ça, ça deviendrait superflu et inutile. Mais je rappelle aux gens que les ordinateurs ont remplacé les machines à écrire et que les voitures ont remplacé les voitures à cheval. C’est un gros problème, mais ce n’est pas insurmontable. Je pense que c’est une question de personnes décidant que tout ça doit arriver et qui l’introduirait progressivement et avec sagesse. Malheureusement – maintenant c’est moi qui vois ça comme ça. Un tas de gens disent : "Bon dieu, les trucs dont vous parlez sont vraiment futuristes." Moi, je dis : "Non, ce n’est pas futuriste. Ce sont des trucs qui auraient dû être révélés dans les années cinquante…" GN : C’est sûr. SG : …à l’époque où je suis né, et de fait, nous avons dévié pendant un demi-siècle de la voie d’évolution naturelle que notre civilisation aurait dû suivre. Et c’est pour ça que nous voyons l’environnement subir tant de dommages, qu’il y a tant de pauvreté dans notre civilisation, et ce genre de chaos et de folie, si vous voulez, ne cessera pas de s’aggraver tant que nous n’aurons finalement pas accepté le fait que ce type de changement doive bel et bien être géré, géré avec sagesse et fait de façon à ce qu’il soit le moins perturbateur possible. Mais vous voyez bien que plus nous attendons, moins il est probable qu’on en aura un où la transition pourra être facile. Je pense qu’on en est arrivé au point où on peut laisser tomber le "facile". Ça va être soit dur, soit catastrophique et il va falloir que nous choisissions si vous voulons encore gaspiller notre temps, et si nous voulons qu’au bout de ça survienne la catastrophe. Alors plus on attend, plus ce sera difficile, et au passage, vous avez posé la question de savoir pourquoi tant de ces gens s’étaient présentés. Ils savent que ces projets clandestins, beaucoup de ces gens de l’armée et qui viennent de sociétés sont assis sur ce genre de technologies, et j’ai eu un homme qui était assez vieux pour être mon père, ou mon grand-père, qui disait : "Vous savez, j’ai sincèrement…" (C’est ce qu’il disait) "… J’ai sincèrement cru que tout cela deviendrait public, que ce serait révélé dans les années soixante." Et je l’ai regardé et j’ai – GN : Et fonctionnant, probablement ! SG : Oui, et au fur et à mesure que les décennies passaient, il a été de plus en plus consterné par le fait que nous en étions toujours à creuser au même point qu’avant, avec les guerres pour le pétrole et tout le reste. La question est par conséquent grave, et on ne peut vraiment pas parler de mythe à propos de l’existence de ces technologies. Il y a d’abondants documents scientifiques et des données qui concernent tout ça, et les gens disaient sans arrêt : "Eh bien, comment êtes-vous passé des OVNIs à l’énergie ?" Et moi je disais : "Eh bien, une des principales raisons du secret qui entoure les OVNIs, c’est que les systèmes de production d’énergie et de propulsion qui sont derrière ça n’utilisent clairement pas d’énergies fossiles ou d’énergie nucléaire. Ils utilisent des domaines de la physique entièrement nouveaux et révolutionnaires, qui feraient de cette planète un immense jardin de roses si nous étions capables de les utiliser pacifiquement et, voyez, c’est là que je pense finalement que ça représentera une grave crise spirituelle pour l’humanité, parce que ces technologies auront à être utilisées pacifiquement et – ou elles seront aussi destructives que n’importe quelle nouvelle technologie, et même si nous ne les laissons pas advenir, nous allons vers l’autodestruction avec les technologies actuelles. On est par conséquent dans une situation de crise où, d’une manière ou d’une autre, on aura en tant que peuple à décider de vivre en paix tous ensemble, et de la mise en commun de moyens internationaux pour avoir une paix applicable. Je pense malheureusement que cette paix sera pour quelques temps celle que procurent des chiens enchaînés. GN : Eh bien, que se passera-t-il – SG : Il y a tant d’humains qui sont prêts à se trancher la gorge pour les trucs les plus ridicules, mais – GN : C’est en train de devenir une calamité planétaire qui va tous nous plonger dans le même bain, c’est ça qui est triste. Vous savez, aujourd’hui- SG : [Rires] oui, il semblerait que les humains n’apprennent
pas vite, n’est-ce GN : Vous savez, aujourd’hui, (et je ne suis pas un adepte des vaccinations) et les gens – j’ai reçu des e-mails de gens qui disaient : "Si un de mes amis meurt à cause de ce que vous avez dit sur un vaccin, je viens vous casser la gueule." Et je n’arrête pas de dire : "Attendez une minute ! Je n’ai pas dit à la moindre personne de ne pas se faire vacciner. Pas la moindre." SG : C’est vrai. GN : Je dis au gens que je ne me fais pas vacciner. Je ne me fais pas vacciner contre la grippe, et actuellement, vous ne pouvez de toute façon pas vous faire vacciner contre votre volonté. SG : Pas contre votre volonté, ouais. GN : Ils disaient en ce moment, des experts ont dit qu’ils
prévoient qu’un milliard de gens pourraient mourir de la
grippe sur cette planète, et je regarde ça en me disant
que ça fait un sixième de la population mondiale. C’est
impossible ! Il doit y avoir autour de nous quelque sinistre puissance
qui veut supprimer un milliard de gens sur cette planète, parce
que je ne vois pas la grippe faire ça. Je n’y crois SG : Eh bien, le chiffre que j’ai en fait entendu était de quatre milliards, mais – et ça nous amène à des choses que la plupart des gens ne veulent pas que nous abordions. GN : Ouais, revenons-en maintenant à l’énergie et aux OVNIs. SG : D’accord, mais le fait est qu’il y a des gens qui ont des ordres du jour qui sont vraiment dingues. Je veux dire que c’est du genre "fin du monde", de l’ordre de l’eschatologie, des trucs de cinglés, et il y a certaines personnes qui ont le sentiment, eh bien ! Vous savez, que si on n’a pas quelque chose comme ça qui arrive, on n’aura pas le retour du Christ sur une soucoupe volante ou quoi que ce soit d’autre. Le problème, c’est par conséquent que ça se rapporte à des perceptions erronées et, si on peut utiliser le terme d’"ignorance" ou que sais-je encore, et les superstitions qui nous ont mis dans la situation actuelle. Ce ne sera qu’à travers un certain degré de connaissances et d’éclaircissements, et de raison et… GN : Et de tragédie ! SG : … De véritable, à mon avis de véritable spiritualité, en tant qu’opposé de la religiosité, parce que j’ai malheureusement découvert que religiosité et spiritualité sont inversement proportionnelles. GN : Vous croyez à la fin des temps ? SG : Eh bien, je crois que chaque jour est un temps qui se termine. Je veux dire que je crois que nous sommes dans un cycle. Voilà ce que je crois. Je crois que nous sommes à la fin d’un très long cycle d’évolution de l’humanité et au commencement d’un autre, alors quand les gens disent : "Oh, c’est la fin du monde !" Eh bien, c’est la fin d’une ère de notre civilisation et le commencement de toute une autre période. GN : C’est aussi ce que je crois. Je suis d’accord avec ça. SG : Et c’est là qu’on en est, et nous sommes à cette sorte de tournant crucial, ce point où tout est en train de basculer, et il faut que nous soyons pour ainsi dire les sages-femmes, si vous voulez, de cette espèce de nouveau bébé qui se présente, dont je crois, de la façon dont je vois ça, qu’il symbolise une civilisation qui connaîtra des centaines de milliers d’années d’existence pacifique, et que nous irons vraiment dans l’espace et deviendrons sur cette planète un peuple véritablement éclairé pour les milliers d’années à venir. Mais nous sommes également la génération qui doit en quelque sorte veiller à coucher dans la tombe cette vieille époque qui est à bout de souffle et qui tente de mourir. Il faut par conséquent que nous fassions les deux avec compassion – et je sais bien que je suis ici en train d’utiliser des analogies médicales, mais je suis médecin, je n’y peux rien. Mais je crois que c’est de cette façon qu’il faut que nous le voyions et ça devra être avec sagesse, avec compassion et amour, veiller à ce que l’une s’en aille le plus tranquillement possible – et ce n’est pas trop de le dire – mais aussi pas en arriver au point de nous faire sortir les yeux de la tête. Avec tous les trucs dont les gens parlent qui sont vraiment effroyables, et toutes les choses horribles qui sont en train de se passer, ce que je vois, et c’est ma propre vision des choses, ce sont des technologies et des connaissances qui se rejoignent en un point où la Terre pourrait véritablement être on ne peut plus belle, où il n’y aurait pas de manque ni de pauvreté, pas de pollution et une civilisation durable dont le futur s’étendrait sur des milliers d’années, et qu’avec ces technologies-là, on pourrait aller dans l’espace. Vous savez, Ben Rich, qui était à la tête des ateliers interdits de chez Lockheed, nous a dit avant de mourir, que nous avions déjà, cadenassées dans les tiroirs des projets hyper secrets de chez Lockheed, des technologies qui pourraient nous amener au-delà des étoiles plus rapidement qu’à la vitesse de la lumière, mais il disait : "Il faudrait une action divine pour que l’humanité puisse en bénéficier". Et il était très triste en disant ça. Alors maintenant, ce que je vois, c’est que ça finira par arriver et que nous sommes la génération, d’un côté, qui a pour ainsi dire un pied dans cette vieille époque qui est en quelque sorte en train de mourir – c’est dans ce sens-là que vous pouvez l’appeler "fin des temps" – mais également, que nous avons un pied dans cette autre époque que nous avons en perspective, vers laquelle nous sommes réellement en train de nous diriger très rapidement, et elle est véritablement en train de s’épanouir comme une fleur tout autour de nous de bien, bien des façons. J’ai par conséquent une vision optimiste à très long terme, mais je ne suis en même temps pas "béât" devant tout ça. Je pense qu’il faut que les gens se ressaisissent, travaillent ensemble, et essayent de faire en sorte que ça se fasse parce que ça ne va pas se faire comme par magie. Ça se fera par l’intermédiaire de gens qui s’uniront en vue de cette rude tâche. GN : Mais vous savez, avant que vous ne répariez la route, vous allez encore en perdre, des pneus, dans ces nids de poule. SG : Ouais, c’est vrai et – GN : Je veux dire que c’est ce qui va nous arriver SG : et des pneus, on en a déjà perdus, malheureusement. GN : et je pense qu’il y a encore des tas de choses qui vont arriver, à ce propos-là. SG : Oui, c’est très probable. GN : Vous savez, les gens ne sont vraiment concernés que par deux ou trois trucs, Steven, quand on en vient à l’énergie et ça, c’est leurs maisons… SG : Oui. GN : … Et leurs voitures, et ces deux choses-là, il me semble qu’on pourrait très facilement y remédier. Je veux dire qu’on peux passer à un carburant alternatif pour les voitures. Ils sont juste en train de faire de la rétention à ce propos-là. Et je vois également le jour arriver (j’espère) où chaque maison aura son unité autonome, pas vous ? SG : Eh bien, celles que nous avons vues pourraient littéralement faire ça. En fait, celle que nous allons améliorer très rapidement, ici, qui produit plus d’une centaine de kilowatts, est trop grande pour une maison, mais elle pourrait être faite à plus petite échelle pour qu’on ait une unité adaptée à une maison, et chaque maison aurait ainsi sa propre source de courant. Vous n’auriez pas ces lignes électriques qui sont si laides. GN : Où est-ce que vous la mettriez ? Derrière
la maison ou quelque chose comme SG : Chaque système est différent. Ce système particulier pourrait en fait être dans votre cave et n’aurait pas du tout besoin d’être relié à l’environnement extérieur, et il est vraiment plutôt robuste. D’autres que j’ai vus auraient d’une certaine manière à être relié à l’extérieur. Il y a différents types, mais les solutions sont là et elles sont en train d’arriver. La SEAS – seaspower.com – est le site internet de notre société, et j’encourage tous ceux qui sont inventeurs autour de nous, et qui pensent disposer d’une avancée significative là-dessus, à nous contacter parce que je ferai tout ce qui est en mon pouvoir, une fois que nous aurons testé et reproduit un système qui soit valable, pour le diffuser. Et vous savez, les gens disent : "Mais, vous ne serez pas menacé ?" Et je dis : "Eh bien, des menaces, ça fait quatorze ans que j’en ai." Et j’ai dit : "Pour être plutôt franc, il faudra qu’ils me collent dans un cercueil pour m’arrêter dans ce que je suis en train de faire." Et c’est vraiment ce que je pense, et tous ceux qui me connaissent savent que je suis sincère par rapport à ça. Par conséquent, il faudrait que tous ceux qui disposent de ça prennent contact avec nous par le biais du site internet de la société, seaspower.com. Mais pour la voiture, le système de propulsion pour les voitures, vous pouvez avoir des blocs d’alimentation basés sur ce même type de technologies qui seront relativement bien adaptés et pour lesquels, laissez tomber le carburant de substitution, vous n’auriez pas de carburant du tout et ça ferait marcher la voiture. GN : Quel est son principe de fonctionnement ? C’est comme un aimant, ou qu’est-ce qui se passe? SG : A la base, eh bien, il y a différentes approches, vous savez, et si vous regardez – le Dr. Bearden est un type tellement génial. Il a sorti un livre qui a été publié l’année dernière, qui fait à peu près mille pages et qui s’appelle "Energy from the Vacuum" ("De l’énergie à partir du vide"). Je le recommande fortement aux gens qui veulent se plonger sérieusement là-dedans. Mais il y a autour de dix-huit ou dix-neuf différentes manières d’extraire cette énergie libre du vide quantique ou champ de l’énergie du point zéro, qui sont apparues au cours des années. Malheureusement, la plupart de ces systèmes sont soit confisqués, et ils sont perdus pour la postérité, soit les inventeurs sont assassinés ou menacés. GN : Est-ce qu’on les achète dans certains cas ? SG : Ouais, la plupart d’entre eux se font acheter. Je veux dire que j’ai parlé à un homme – j’ai un témoin qui a fait toute sa carrière aux Labos "Bell". Il a dit que pendant qu’il était là-bas, il y a eu vingt-huit ou vingt-neuf de ces systèmes vraiment novateurs, tout simplement trouvés par des inventeurs civils, que cette société avait rachetés et mis au placard. GN : Donnez-leur juste un chèque, et il n’y a plus personne. SG : Oui. Et tout ça dure bien sûr depuis très longtemps, et si on les aborde pour leur parler, par des sortes d’allusions, de ce type de représailles et de menaces au cas où ils ne coopéreraient pas, et de l’immense fortune qu’ils recevraient s’ils acceptaient de vendre ça pour que ce soit mis de côté. Maintenant, ce que je voudrais dire aux inventeurs, c’est : ne faites pas ça ! Nous avons besoin qu’elles soient – GN : C’est tentant pour eux, vous ne croyez pas ? SG : Bien sûr que c’est tentant et, pour être plutôt franc, je connais des types qui l’ont fait, je connais personnellement des types qui l’ont fait. Ce que j’ai dit aux gens, c’est que si quelqu’un m’offrait cent milliards de dollars, je lui montrerais la porte et je lui dirais que ça ne m’intéresse pas. Ce qui nous intéresse, c’est d’obtenir ces informations… GN : Allez, vous refuseriez de prendre un chèque de cent milliards de dollars, Steven ? SG : Oui, je refuserais. GN : Vous êtes un des derniers, alors. SG : Je refuserais absolument. GN : Je me demande combien de personnes refuseraient. SG : Vous pouvez faire analyser ma voix, je refuserais absolument, absolument. GN : On fait analyser votre voix, d’accord ? SG : Vous pouvez me traîner jusqu’à un détecteur de mensonge. Aucune somme d’argent, et quelque soit le nombre de menaces. Et j’ai dit à un des principaux responsables d’émissions d’informations d’une des plus grosses chaînes, alors que je lui parlais de ça ; il dit comme ça : "Si vous disposez de l’un de ceux-ci et qu’il a été vérifié par quelques-uns de vos contacts universitaires, je vous invite à l’émission." Et il dit : "Mais, vous savez, il se pourrait – il se pourrait que vous soyez sous le coup d’un de ces décrets du gouvernement, un décret concernant la Sécurité Nationale, vous ordonnant de ne pas le faire." Et j’ai dit : "Ah ouais ? Eh bien, vous pouvez vous préparez à ce que je le déchire devant tout le monde, et peu m’importent les millions de téléspectateurs qui seront en train de regarder l’émission. Je le déchirerai. GN : Qu’est-ce qu’il faudrait pour avoir – pour vraiment avoir – cette énergie, et que ça fonctionne dans les maisons, dans les voitures, prête à l’emploi ? SG : Eh bien, je pense que ça nous relie à tout un tas de problèmes. Avant toute chose, il faut que vous ayez un système valable, qui soit construit, qui n’ait pas disparu ou été – ce que j’appelle le syndrome du "cassé-pour-toujours", où il est tombé en pièce détachées et vous ne pouvez plus en disposer. Par conséquent, une fois que nous en découvrons un de ce type, où l’inventeur a la volonté de suivre et de coopérer, ou au moins de le mettre à disposition et de le rendre public, la première chose que nous aurons à faire c’est de reproduire ça scientifiquement dans divers cadres où ce sera prouvé, où les scientifiques et les financiers, et les média verront que ce n’est pas un canular ou des foutaises. Il faut que vous fassiez vraiment bien les choses, il faut que vous soyez – GN : C’est sûr. SG : Scientifique. Une fois que nous aurons fait ça, notre intention est de faire des révélations massives à propos de cette technologie, je veux dire que ça ferait passer le Disclosure Project de 2001 pour une plaisanterie, et nous ferons ça de manière à ce que le public sache que ça existe, et ensuite nous le ferons passer par un stade accéléré de R & D [recherche et développement] pour le perfectionner et le mettre à la disposition du public. Je suis en ce moment en train de travailler avec une société qui a fait du High Tech de pointe et des adaptations rapides au point qu’en l’espace de six à neuf mois, il peuvent prendre un prototype et faire en sorte qu’il sorte à la chaîne par milliers, voire même par millions d’unités. Par conséquent, tout ça est faisable, mais il faut d’abord que vous ayez un système valable, que vous remédiiez à ses défauts, qu’il soit contrôlé indépendamment et reproductible de façon à ce que sa validité ne fasse aucun doute, et ensuite vous pouvez le faire passer par les étapes qui le mettront à la disposition du public. Mais bien avant qu’ils ne soient vendus au public, nous voudrions que ce public soit informé de tout ça. Je veux dire que si je suis à nouveau accueilli dans cette émission, je reviendrai dans votre émission en vous ayant déjà fait venir voir par vous-même qu’il fonctionnait. J’irai sur ABC, j’irai partout où il faudra pour dire : "Regardez, il faut que les gens sachent qu’il y a de la lumière au bout du tunnel, et en voici la preuve." Pour autant, nous n’avons pas eu quoi que ce soit qui me semble assez robuste pour l’exposer aux yeux du grand public sur ce mode-là. Mais nous pensons que ce n’est pas si éloigné que ça. Il y a quelques technologies vraiment prometteuses que nous examinerons cet automne et je suis d’un optimisme prudent quant à l’arrivée de tout ça. J’aurais aimé que tout ça soit déjà arrivé. Mais, hé ! Je ne peux pas tout contrôler. Il y a un tas de choses qui ont interféré avec tous ces progrès. Mais je pense en définitive que la manière la plus radicale pour être certain que ces technologies soient connues, c’est qu’une fois que vous les avez mises en sécurité et dupliquées dans des endroits sûrs, c’est d’avoir des millions et des millions de gens tout autour du monde qui sachent que ça existe, parce qu’à ce moment-là, le gouvernement ou ces groupes clandestins ne seront plus en mesure de le supprimer. Une fois que les gens sauront que ça existe, ils vont vouloir en disposer. GN : Absolument. SG : Le marché – vous savez quoi ? L’économiste qui est le bras droit d’Alan Greenspan m’a répondu, il y a quelques années de ça, alors que nous étions en train de parler de ça, que, elle a dit comme ça : "Vous savez, Dr. Greer. C’est le marché qui s’en chargera. Si vous pouvez arriver à le sortir et faire en sorte que ça soit prouvé, ça suivra à ce moment-là tout simplement – GN : C’est sûr. SG : – son cours." Mais vous savez, c’est d’en arriver là qui est difficile. En général, ces systèmes sont interceptés avant que le grand public n’en soit largement conscient, et ce que nous voulons par conséquent faire, c’est de le faire rapidement passer du stade de la découverte et de la vérification scientifique à la prise de conscience par le grand public, et vos auditeurs seraient à mon avis l’élément clé d’un tel processus, parce qu’avec internet et la radio et d’autres trucs, l’information peut très rapidement faire le tour du globe. GN : Comment le Disclosure Project est-il passé de la dissimulation sur les OVNIs à l’énergie du point zéro, et à l’énergie en général ? SG : J’ai suivi le domaine des nouvelles énergies parce qu’il est évident que ça implique la question des OVNIs. Quand le 11 septembre s’est produit, j’ai téléphoné, bien sûr, à ma femme, et à ma fille qui était dans le D.C. (District of Columbia) pour essayer de lui faire quitter la ville, et le troisième appel a été pour mon conseiller militaire et mon conseiller scientifique et, au fond, c’est surtout à eux que j’ai parlé. J’ai dit : "Vous savez quoi ? C’est le signe qu’il va falloir que nous nous passions au domaine de l’énergie, parce que c’est avec lui que tout ça est en rapport." Et c’est ça que je leur ai dit. Ça peut paraître quelque peu effrayant, mais ce sont littéralement les propos que j’ai tenu le 11 septembre, et en l’espace d’un mois, on avait créé seaspower.com, et c’est bien sûr depuis ce moment-là qu’on examine attentivement des systèmes et qu’on les teste parce que nous savions que le secret que cachaient les OVNIs était largement (pas totalement, je veux dire qu’il y avait aussi des causes religieuses et autres), mais alors largement centré autour de l’économie, du pouvoir géopolitique et de l’énergie, et que nous étions tout simplement allés trop loin en gardant ces trucs secrets, et ce qu’on a dit dans notre groupe, c’est : "Regardez, voilà maintenant la direction qu’il faut que nous prenions." GN : Très bien, restez avec nous, Steven. Nous serons
de retour dans un instant pour encore une heure. Nous allons ouvrir le
standard pour vous donner la possibilité de parler avec le Dr.
Steven Greer et aussi, une chose que je voudrais vous demander, Steven,
quand nous serons de retour, parce qu’il se pourrait que vous soyez
au courant. Il y a tant de gens qui rapportent avoir vu cet immense objet
en forme de triangle. On en voit partout. Pour la plupart d’entre
eux, c’était à côté de bases militaires.
Je voudrais avoir votre point de vue là-dessus. C’est une
question que je n’ai jamais pu vous poser. [Pause publicitaire] |
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Dimanche
3 avril 2005 Interview de et des |
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